Des femmes et des hommes, salariés et retraités qui, ensemble sur le bord des routes du tour, se sont mobilisés pour aller à la rencontre du public pour l’informer et le sensibiliser aux campagnes de la CGT sur les salaires, les retraites, les services publics notamment.
Mais aussi, ici ou là, pour lui faire partager les enjeux d’une lutte contre la fermeture d’un hôpital, d’une entreprise, d’une poste, d’une école ou d’un tribunal…
De la Vendée à l’Ile de France, dans la plaine ou la montagne, sous le soleil où sous la pluie (et il a beaucoup plu sur ce Tour…), la CGT n’a pas ménagé sa peine pour faire monter l’idée d’une forte mobilisation dés la rentrée. Une CGT belle et généreuse, festive colorée et revendicative, une CGT qui s’est montré sous ses plus beaux atours sur le Tour. Belle et rebelle.
Ce dernier billet est aussi fait pour tirer un coup de chapeau à l’équipe des huit caravaniers CGT/NVO. Huit militants syndicaux, qui n’ont rien négligé pour porter haut l’image et de la CGT et de son magazine la NVO sur ces trois semaines au travers du pays. Un engagement fort de tous les instants. Du 7/7, du 24/24.
Autour de Dominique Piron, notre « chef caravane » qui assure et rassure, il y avait Michel, Jérôme, Tony, Jean-Pierre, Frédéric, Sophie et Annie. Et Pierre Marie. Plus qu’un copain, mon fidèle et précieux pilote sur la route du Tour depuis trois ans.
Une équipe CGT/NVO qui mérite le podium de tous les classements du Tour : le maillot à pois pour avoir passé en tête de caravane les sommets du Tour, le maillot vert pour tous les quelques sprints qu’il à fallu faire, le maillot blanc pour notre « petit jeune » et adorable Tony, et le maillot jaune bien sûr, pour le classement général de notre Tour.
Une mention spéciale aussi, emplie de tendresse, pour les deux féminines de l’équipe, Sophie et Annie.
Pour mon dernier Tour, j’ai eu le bonheur d’être de cette équipe là et de vivre avec eux cette belle aventure. De relayer pour vous, visiteurs du site CGT, le tour de la France sociale. Le moment est venu de poser mes valises. J’ai savouré avec eux ce dernier périple.
A vous toutes et à vous tous, amis et camarades, un salut fraternel. Et, du fond du cœur, un grand merci.